Aujourd'hui, le regard de la société ( juges, enseignants, assistantes sociales, voisins, ...) nous met la pression: "la faute aux parents démissionnaires", "la faute aux parents sur-investis"... On veut être de bons parents, jugés comme tels: être bienveillants, positifs, à l'écoute et tout en même temps réussir notre vie de couple, notre vie au travail... Au-delà des situations traumatiques, dont nous ne parlons pas dans cet article, nous voulons tous tellement bien faire avec nos enfants que nous pouvons parfois aller jusqu'au burn-out. Aller chercher les enfants, gérer leurs activités, les devoirs, les bobos plus ou moins graves sont déjà des défis du quotidien , mais parfois un événement peut faire déborder le phase et on bascule. Selon le magazine Cerveaux et Psycho, 5% des parents seraient en burn-out et 8% en pré-burn-out, soit plus d'1 parent sur 10 en situation de souffrance.
Alors il est important de bien identifier les phases qui mènent au burn-out...