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Boire nuit gravement à la santé !

Par Le 28/04/2019

Le service d’addictologie  de l'hôpital Paul-Brousse à Villejuif est une référence en matière de traitement des prolèmes d'alccol des jeunes. « Ces dernières années, je vois de plus en plus de jeunes polyconsommateurs, avec d’importantes consommations d’alcool, souligne Geneviève Lafaye, responsable de l’unité d’addictologie adolescents et jeunes adultes. On découvre toute une variété de profils, comme ces jeunes filles qui ont des troubles du comportement alimentaire associés aux problèmes d’alcool. »

Les alcoolisations ponctuelles importantes (ou API ou binge drinking), définies par au moins cinq verres en une seule occasion, sont devenues complètement banales à l’adolescence. A 17 ans, près d’un garçon sur deux en déclare au moins une dans le mois (38 % pour les filles), selon l’enquête Escapad 2017. Les API répétées (au moins trois épisodes mensuels) concernent, elles, plus d'un garçon sur 5 et une fille sur 10. Les jeunes adultes aussi ont tendance à consommer des doses importantes de façon occasionnelle, quand leurs aînés boivent moins mais plus régulièrement. Rappelons que les repères de consommation sont de ne pas dépasser 2 verres par jour, 10 par semaine, et de ne pas boire tous les jours.... Et cela ne dépend pas de l'âge...

Comment agir avec l'alcool ?

Par Le 28/04/2019

L'association Oppelia aide parents et jeunes à mieux gérer la question de l'alcool... Quelques repères pour nous aider...

Addiction alcool

Le renouveau de l'industrie textile en France: une chance pour les élèves de MMV ?

Par Le 14/04/2019

Après plus de 40 années de déclin due à la mondialisation, l’industrie textile France renaît peu à peu de ses cendres. Le chiffre d’affaires du secteur textile en France a enregistré en 2018 une hausse de 1,7 % et les créations d’emplois ont progressé de 0,9 % sur un an ( source INSEE). Le nombre de salariés de la filière a progressé pour la première fois de 3,6 % en 2017.

Pour réussir à stopper l'hémorragie, l’industrie textile française a dû se transformer en profondeur. La concurrence était impossible à battre sur le terrain du coût – au Bangladesh, le salaire minimum d’un ouvrier textile est de 82 euros par mois –, les entreprises françaises sont "montées en gamme" et se sont diversifiées.

 

Bien réussir après un Bac à Marx Dormoy: oui à condition de bosser !

Par Le 07/04/2019

Quand on est parents, on se demande toujours si le lycée Marx Dormoy donne bien à ses bacheliers un bagage pour la suite ou si l'enseignement privé ou des lycées publics plus prestigieux ne seraient pas une meilleure option... Dilemme...

Certes les taux de réussite au Bac Général au lycée sont très corrects, mais quand est-il de la réussite dans le supérieur ? Ce qui suit n'est qu'un témoignage et n'a pas de vocation statistique mais il donne au moins un éclairage. Les prénoms ont été changés.

Des "classes préparatoires au supérieur" pour les bacheliers pro

Par Le 24/03/2019

Au lycée Antonin Arthaud à Marseille, une "classe préparatoire à l'enseignement supérieur" ( CPES) prépare les bacheliers issus des filières professionnelles ( surtout industrielles) à poursuivre leurs études en BTS, DUT ou à l'Université, et même dans les classes préparatoires aux écoles d'ingénieurs des Bac Technos. Elle leur permet de rattraper leur retard en maths, physiques, langues et philosophie et leur redonne confiance en leurs capacités.

Les élèves, une vingtaine, sont recrutés sur dossier, sur la base de leur motivation, de leur capacité de travail. L'année dernière, sur 18 élèves, 5 ont rejoint des classes prépas aux grandes écoles TSI, 8 un BTS aéronautique sélectif, les autres sont partis en IUT, licences de droit, économie... 

A quand des classes prépas de ce type à Créteil ?

Abd El Malik, la lecture et les livres l'ont sauvé...

Par Le 24/03/2019

Rappeur et écrivain, Abd Al Malik, 44 ans, raconte son parcours dans le journal Le Monde . Quelques morceaux choisis...

Sa mère...Par sa manière d’être, son exemplarité, les valeurs qu’elle nous transmettait. Par exemple, elle ne se plaignait jamais. Ce qui comptait pour elle, c’était le rapport entre les êtres et non l’appartenance. Elle nous disait : « Il faut que vous aimiez la France si vous voulez que la France vous aime. » En grandissant, j’ai compris qu’il fallait aimer tout ce que l’on est pour que le positif vienne à vous. Evidemment, j’ai grandi dans un contexte particulier : la drogue, la prison, la mort faisaient partie de mon quotidien. J’ai eu des errances dans la petite délinquance, mais ma mère, qui était aide-soignante, m’a transmis une forme d’éthique qui m’a poussé à être exigeant envers moi-même. Encore aujourd’hui, je l’ai tous les jours au téléphone. On reste très proches.

L'école... Dans la cité, sans être moi-même chef de bande, j’étais plutôt de leur côté. Donc, on me laissait tranquille, je faisais ce que je voulais. Certains avaient pour passion le foot, moi c’était l’école et la lecture... Mes années collège et lycée ont été formidables. Tout au long de ma scolarité, des enseignants m’ont soutenu.

Un stand particulièrement réussi !

Par Le 17/03/2019

Pour ceux qui étaient présents aux journées Portes Ouvertes du lycée du 16 février, le stand "Egalité, bien vivre ensemble" au centre du hall tenues par 4 lycéennes, encadrée par leurs enseignantes, a marqué les esprits. On pouvait y découvrir les productions des élèves, des affiches et un quizz proposé aux visiteurs. Cette présence est la concrétisation du travail mené au lycée contre les discriminations, le sexisme et pour l'égalité depuis le début de l'année. Petites saynètes, débats, affiches, présence en conseil de classe, tous les moyens sont utilisés pour sensibiliser chacun, élèves/enseignants de toutes les filières au sexisme et aux discriminations ordinaires.

Et même si les choses avancent, il y a encore beaucoup de chemin à parcourir. Un grand bravo aux enseignants, mais aussi, et presque surtout aux élèves délégué(e)s, car on oublie souvent qu'il faut beaucoup de courage pour exprimer ses convictions devant ses camarades.